PK (WMO", , u home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/imsmanifest.xml
Pour manipuler correctement votre document comme mettre les retours Ă la ligne au bon endroit ou faire les sauts de page correctement, le traitement de texte doit pouvoir reconnaĂźtre les mots, les paragraphes, les listes. nous expliquons ici quelques rĂšgles Ă respecter pour ce faire.
Les caractĂšres
La plupart, par exemple, lettres, chiffres et symboles de ponctuation, sont visibles, mais certains sont invisibles, en particulier, les espaces. Certains caractĂšres sont aussi interprĂ©tĂ©s par le logiciel comme une commande ou une dĂ©claration, c'est, par exemple, le caractĂšre qui marque la fin de paragraphe, ou ceux qui marquent la fin d'un mot (espace ou ponctuation), celui qui ajoute une espace insĂ©cable. C'est lĂ une premiĂšre difficultĂ©, l'espace par exemple a plusieurs fonctions. Ajouter une espace typographique entre deux mots est utile Ă la prĂ©sentation du document, mais cet ajout dĂ©clare Ă©galement la sĂ©paration de deux mots. Dans la premiĂšre fonction, on pourrait vouloir augmenter cette sĂ©paration dans le rendu visuel et donc se faire suivre deux espaces. Mais on perd le sens de la deuxiĂšme fonction puisqu'il n'y a pas de mot entre ces deux espaces. La convention choisie est de ne jamais avoir deux espaces consĂ©cutives et de faire confiance au logiciel pour rĂ©aliser la meilleure prĂ©sentation. En effet, si deux ou plusieurs espaces se suivent, le traitement de texte est mis en difficultĂ© et la mise en forme peut ĂȘtre insatisfaisante. Donc, visualiser tous les caractĂšres , y compris ceux qui sont invisibles, aide Ă bien comprendre le contenu saisi.
Les mots
Le logiciel les reconnaßt car ils sont séparés par des
espaces ou des signes de ponctuation. Des rĂšgles typographiques,
spécifiques à chaque langue, définissent les espaces et symboles de
ponctuation. Par exemple, en français une espace précÚde toujours le
signe
:
alors qu'il n'y pas d'espace avant le signe
:
en
anglais. Le respect de ces rÚgles est impératif et souvent, le
logiciel aide Ă une saisie correcte en ajoutant les espaces requis.
Les paragraphes
Ce sont des ensembles de mots séparés par des
fins de paragraphes
créés par l'appui sur la touche
Entrée
. La fin
de ligne dans le rendu du document (le retour à la ligne) est calculée
par le traitement de texte et donc la touche
Entrée
ne marque pas la
fin de ligne. Il est parfois nécessaire de forcer une fin de ligne
dans certains paragraphes comme les poĂšmes. C'est la combinaison de
Majuscule-Entrée
qui permet de réaliser une fin de ligne tout en
gardant le mĂȘme paragraphe. Puisque chaque appui sur la touche
Entrée
crée un nouveau paragraphe, les titres et les sous-titres
sont donc techniquement des paragraphes comme les paragraphes de
texte. Comme pour les espaces et les mots, la convention choisie est
de
ne jamais avoir deux fins de paragraphe consécutives
et de
faire confiance au logiciel pour réaliser le meilleur rendu visuel.
Les titres
Ce sont bien des paragraphes, mais le logiciel de traitement de texte permet de les déclarer comme titres en précisant leur niveau. Le niveau est la profondeur dans une hiérarchie : titre de niveau 1 pour une section, titre de niveau 2 pour une sous-section, titre de niveau 3 pour une sous-sous-section.
Les listes
Ce sont des suites de paragraphes reliés entre eux pour permettre une présentation cohérente. Pour assurer cette cohérence, beaucoup de caractéristiques sont définies sous forme de rÚgles utilisées par le logiciel pour l'apparence des listes : le symbole utilisé pour les items des listes à puce, les espacements, la numérotation des éléments, ... La logique est, ici encore, de déclarer la liste et de laisser le logiciel s'occuper de l'apparence quitte à adapter les rÚgles de mise en forme à vos besoins.
Chaque élément de liste est un paragraphe. On active la structure de
liste par bouton qui est un raccourci du menu format/puces et
numérotation. On ajoute un nouvel élément en ajoutant un
paragraphe. On peut avoir plusieurs paragraphes dans le mĂȘme Ă©lĂ©ment
de liste en utilisant la touche
Retour arriĂšre
une seule fois en
début de paragraphe. Deux appuis de
retour arriĂšre
quittent la
structure de liste.
Vidéographie : Déclarer une structure de liste
PK (WMhČ`k k home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-6styles-et-structure_webcontent.html
Les logiciels de traitement de texte offrent tous la possibilité
d'afficher la liste des styles disponibles (avec LibreOffice, on peut
utiliser la touche
F11
, le menu
Style/Style et formatage
ou encore le
tiroir de droite). Nous pouvons voir cette liste de styles comme la
liste des structures possibles. Se placer dans un paragraphe du texte
permet de voir quel style lui est associé. L'ensemble des styles
possibles est trÚs grand et organisé selon une hiérarchie. On peut
restreindre cette liste à ceux qui sont appliqués dans le document ou
à ceux qui sont souvent utilisés (styles automatiques). Les styles
portent sur différents éléments de structure du document :
paragraphes, caractĂšres, cadres (flottants), pages ou listes.
Vidéographie : L'utilisation des styles
On associe facilement un style Ă un Ă©lĂ©ment, ici des caractĂšres en les sĂ©lectionnant et en cliquant deux fois sur le style voulu. Ici, au lieu de mettre en gras et en italique, nous prĂ©fĂ©rons dĂ©clarer des textes plus ou moins accentuĂ©s. Il faut bien comprendre la diffĂ©rence. MĂȘme si les textes dĂ©clarĂ©s en accentuation forte apparaissent en gras, ce n'est pas identique de presser le bouton gras. En les dĂ©clarant de cette façon nous ajoutons du sens que les logiciels pourront exploiter dans d'autres situations : rendu oral, prĂ©sentation sur un autre support comme un objet portable, ou simplement pouvoir modifier facilement dans tout le texte la mise en forme choisie pour les Ă©lĂ©ments dĂ©clarĂ©s en style accentuation forte.
Vidéographie : Les style caractÚres. Accentuation ou Gras ?
Comme nous l'avons dit ci-dessus, l'affichage des caractÚres invisibles permet de savoir exactement ce qui a été saisi. On voit les espaces et les fins de paragraphe, on peut déceler des répétitions de ces symboles et les supprimer. On voit également la représentation des fins de ligne qui ne sont pas des fins de paragraphes dans cette partie de texte.
Vidéographie : Affichage des caractÚres spéciaux dont le retour à la ligne
Le logiciel réalise souvent des opérations pour vous aider à bien écrire votre document, comme par exemple, l'insertion d'une note de bas de page. Le numéro est inséré automatiquement et sera adapté si d'autres notes sont ajoutées. Le style choisi pour la note sera adapté automatiquement.
Vidéographie : Un style adapté et une numérotation automatique des notes bas de page
Un autre type de numĂ©ros ou textes gĂ©rĂ©s automatiquement par le logiciel sont les renvois aux chapitres, illustrations, figures, ... Remarquez la liste des Ă©lĂ©ments auxquels on peut faire rĂ©fĂ©rence. Vous commencez Ă comprendre en quoi la dĂ©claration de structures est vraiment intĂ©ressante et valorisante. Vous voyez les titres, les Ă©lĂ©ments de liste, les figures, etc... Cette technique de dĂ©claration et de renvois est utilisĂ©e dans tout langage de description de documents. Par exemple, en HTML, on utilise des (hyper-)liens qui peuvent ĂȘtre internes au document (renvoi vers une partie du document) ou externes (renvoi vers un autre document).
Vidéographie : Insérer des renvois aux textes et illustrations
Terminons par un examen de la structure arborescente de ce document. La manipulation de cette structure permet de déplacer des sections entiÚres ou de réorganiser le plan.
Vidéographie : Réorganiser le plan
PK (WM>eŰ ź home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-8point-d-etape-respecter-des-regles-de-base_webcontent.htmlL'auteur d'un document est en charge du contenu et de sa qualitĂ©, du niveau de la langue et de l'orthographe, de la structure du document. Le traitement de texte rĂ©alisera le travail de mise en forme Ă la condition d'avoir correctement dĂ©fini la structure en respectant les rĂšgles fondamentales suivantes :
Entrée
sépare les paragraphes. On ne doit
jamais avoir plusieurs fins de paragraphes consécutives
.
Si vous respectez ces rÚgles, alors le logiciel va pouvoir calculer la meilleure mise en forme possible : l'espacement entre les mots, la taille des interlignes, l'espacement entre paragraphes, l'espacement avant et aprÚs les titres, les marges, les décalages, les alignements, ... Vous pourrez également numéroter automatiquement les sections, créer une table des matiÚres, ... Vous allez pouvoir agir sur tous ces éléments pour personnaliser la mise en forme en modifiant les styles , c'est l'objet de la suite de notre cours.
PK (WM lŽ Ž home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-13metadonnees_webcontent.htmlLes mĂ©tadonnĂ©es sont des donnĂ©es Ă propos du document. Elles sont calculĂ©es par le logiciel (par exemple le nombre de mots, la taille etc...) ou dĂ©clarĂ©es par l'utilisateur (le titre, le sujet, l'auteur...). Les mĂ©tadonnĂ©es sont utiles pour le traitement de corpus de documents. On les retrouve ici dans le menu des propriĂ©tĂ©s. Il est aussi possible d'insĂ©rer les mĂ©tadonnĂ©es comme contenu textuel du document.
Vidéographie : Utilisation des métadonnées
PK (WM€ę¶5 5 home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/3-8operations-sur-les-tables_webcontent.htmlNous avons vu comment calculer des valeurs qui permettent de construire de nouvelles colonnes comme rĂ©sultats de calcul. On dispose donc d'une liste ou table qui est dĂ©finie par une zone rectangulaire avec des objets en ligne et des propriĂ©tĂ©s en colonne. Il existe diffĂ©rentes opĂ©rations sur les tables et nous nous limitons ici Ă deux opĂ©rations : le tri et la sĂ©lection. Une autre opĂ©ration, non prĂ©sentĂ©e ici, consiste Ă effectuer des synthĂšses avec des tableaux.
Le tri ordonne les lignes d'une table selon des critÚres de tri . Pour réaliser cette opération, on doit :
Cette opération consiste à sélectionner des lignes de la table qui vérifient des conditions sur les valeurs des colonnes. Par exemple, on pourrait, sur notre exemple, souhaiter sélectionner les enfants de classe 1A, les enfants de classe 1A ayant plus de 10 euros, ... Pour réaliser une sélection, on doit :
Travailler en groupe c'est d'abord communiquer sur l'Ă©dition du document. Dans ce cas, on veut commenter des parties. C'est aussi ĂȘtre capable de suivre des modifications. Lisez le texte du document pour mieux comprendre et regardez les diffĂ©rentes possibilitĂ©s qui vous sont offertes. En situation de travail collaboratif, les modifications auront pu ĂȘtre apportĂ©es par diffĂ©rents auteurs et le coordinateur va donc valider ou rejeter les modifications.
Vidéographie : Commentaires et suivi des modifications
Une autre fonctionnalité de suivi des versions est illustrée ici.
Vidéographie : Suivi des versions
Les styles sont organisés dans une hiérarchie. Ce n'est pas qu'une façon de les catégoriser pour les retrouver ou y accéder plus rapidement. En effet, la raison principale tient à un concept qu'on retrouve souvent en informatique : la notion d' héritage . Illustrons cette notion par l'exemple. Si la couleur des caractÚres n'est pas définie au niveau d'un style elle sera alors définie par celle de son style juste au dessus de la hiérarchie. Par exemple en passant le corps de texte en rose, les notes de bas de page le seront aussi, mais pas les titres. Par contre définir cette couleur au style par défaut, c'est-à -dire au sommet de la hiérarchie affectera tous les styles de document (sauf bien sûr si cette propriété a été redéfinie pour un style donné).
Vidéographie : La hiérarchie de styles
Les listes en typographie française utilisent des tirets demi-cadratins (Code unicode 2013, Tiret-moyen ). On peut définir une liste à la française respectant cette convention typographique mais c'est un peu technique.
Vidéographie : Listes à la française
Ce n'est pas l'objectif du cours de parcourir toutes les possibilitĂ©s apportĂ©es par un traitement de textes mais vous disposez maintenant des principes de base pour une bonne utilisation. Il est, par exemple, possible de dĂ©finir des tableaux organisĂ©s en lignes et en colonnes, d'insĂ©rer des images dans des figures avec des lĂ©gendes et des numĂ©rotations. Il est Ă©galement possible d'intĂ©grer une bibliographie. Cette opĂ©ration est plus complexe mais vous trouverez des tutoriaux sur le Web pour en rĂ©aliser. Enfin, dans un cadre professionnel, vous serez amener Ă utiliser des modĂšles pour respecter une charte graphique de votre employeur. Vous pourrez ĂȘtre amenĂ©s Ă rĂ©aliser des mailings en insĂ©rant des rĂ©fĂ©rences Ă des fichiers de clients. Voici quelques activitĂ©s que nous vous proposons pour dĂ©couvrir d'autres fonctionnalitĂ©s plus avancĂ©es. Cherchez par vous-mĂȘme et Ă©changez sur le forum pour vous entraider.
Vidéographie : Utiliser un modÚle
PK (WMČőzH H home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/3-2decouverte-du-tableur_webcontent.htmlLe tableur est un outil pour reprĂ©senter, traiter et interroger des donnĂ©es . Ce n'est pas un outil de prĂ©sentation des tableaux car le traitement de texte gĂšre les tableaux et leur mise en forme. La manipulation d'un tableur est donc une activitĂ© de traitement de donnĂ©es, et donc un pas supplĂ©mentaire vers l'informatique en tant que science du calcul.
Avec le tableur, on peut gérer des données organisées sous forme de listes : une liste d'élÚves avec leurs notes, une liste d'adhérents avec leurs adresses et leurs cotisations, une liste d'objets avec une date de collecte et des informations de forme, taille, poids,... Les listes, aussi appelées relations ou tables , sont organisées en lignes et colonnes. Chaque ligne décrit un élément (un élÚve, un membre, un objet). Chaque colonne décrit une propriété de l'élément (un nom, un prénom, une note, une date de naissance, une taille, un poids).
Les principales fonctionnalités d'un tableur sont :
Un vocabulaire spécifique accompagne la manipulation du tableur. Avec le tableur, on définit
Microsoft Excel
d'extension
xlsx
ou au format ouvert utilisé par
LibreOffice Calc
d'extension
ods
Feuille 1
,
Feuille 2
, ...
Vidéographie : Petit tour d'horizon
La premiĂšre chose Ă laquelle il faut ĂȘtre trĂšs attentif est la distinction entre le contenu et ce qui apparaĂźt dans la cellule. Ce qui apparaĂźt est une valeur mise en forme. La mise en forme influence Ă©normĂ©ment l'apparence, notamment pour les valeurs numĂ©riques. Par exemple une mĂȘme valeur numĂ©rique peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e comme un simple nombre, un pourcentage, une somme d'argent ou mĂȘme une date.
Vidéographie : Valeur et apparence1
La valeur affichĂ©e dans la cellule peut Ă©galement ĂȘtre le rĂ©sultat
d'un calcul exprimé par une
formule
. Une formule commence par le
signe
=
suivi d'une expression. On peut examiner la formule dans la
ligne de saisie
. Le tableur recalcule automatiquement les valeurs
issues d'un calcul et permet facilement d'ajuster les calculs pour des
listes de valeurs.
En rĂ©sumĂ©, dans une cellule s'affiche une valeur, mais la cellule contient bien plus d'informations : une valeur, un format, et Ă©ventuellement une formule et mĂȘme un commentaire.
Vidéographie : Valeur et apparence2
Comme pour le traitement de texte, on peut faire des mises en forme au cas par cas ou utiliser des styles pour uniformiser la présentation. Attention à ne pas mettre en péril les traitements par des soucis de présentation. Par exemple, une liste est définie par des lignes et colonnes contiguës et insérer des lignes (ou colonnes) blanches ou avec un fond coloré pour faire des bordures rompt la logique de liste. Les traitements de filtre, tri, etc... deviendraient alors impossibles.
Vidéographie : Logique de table
PK (WM(eÂ1V V home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/1-1presentation-du-cours_webcontent.htmlCe cours est dirigĂ© vers les savoir-faire autour de deux types de logiciels, le traitement de texte et le tableur. Ces savoir-faire sont basĂ©s sur les modules liĂ©s Ă la gestion de donnĂ©es et la gestion des documents. En effet, les bonnes pratiques reposent sur une bonne comprĂ©hension des concepts pour une utilisation intelligente de ces logiciels. Car, peut-ĂȘtre Ă cause d'une apparente facilitĂ©, ces logiciels sont parfois trĂšs mal utilisĂ©s. Pourtant leur maĂźtrise est une compĂ©tence essentielle pour la suite de vos Ă©tudes et votre future entrĂ©e dans la vie professionnelle.
ModalitĂ©s : le cours introduit ces savoir-faire par le moyen de textes et vidĂ©os qui n'ont pas la prĂ©tention d'ĂȘtre des tutoriaux exhaustifs. Vous ĂȘtes fortement encouragĂ©s Ă utiliser le forum pour poser des questions et rĂ©pondre aux questions, Ă interpeller les tuteurs au besoin, Ă chercher des rĂ©ponses sur les forums ou sur des tutoriaux existants car le web abonde de ressources. Le cours est complĂ©tĂ© par des exercices simples non Ă©valuĂ©s et des exercices de production (crĂ©er un document, crĂ©er un classeur) qui seront Ă©valuĂ©s par les pairs, c'est-Ă -dire par vos collĂšgues Ă©tudiants inscrits au mĂȘme cours.
Note : Les démonstrations sont réalisées avec LibreOffice Writer pour le traitement de texte et LibreOffice Calc pour le tableur car ils sont libres, gratuits, disponibles sur tous les ordinateurs et faciles à installer. Toutes les notions de ce cours sont transférables dans tout traitement de texte ou tout tableur de votre choix modulo des changements de noms de menus, des changements de forme des raccourcis, c'est-à -dire des modifications superficielles des interfaces des logiciels.
Installer libreOffice : Si vous voulez installer LibreOffice, ce que nous vous conseillons, il faut :
libreoffice
).
Pour construire des formules on suit un langage formel, informatique,
bien particulier. Le respect de la syntaxe est essentiel, sinon des
erreurs apparaissent. Chaque formule doit commencer par le signe
=
. DerriĂšre le signe
=
se trouve une expression utilisant des
valeurs, des références, des opérateurs comme
+,-,*,/
, et des
fonctions
comme
ARRONDI
,
MOIS
, ... Le tableur contient un
générateur de formules
qui peut vous assister dans la création de
formules. Voici des exemples de formule :
= 10 / 2 + 3
= D8 * $G$2
= MOIS(AUJOURDHUI())
Vidéographie : Les expressions
Certaines fonctions, comme les fonctions
SOMME
,
MOYENNE
,
MAX
et
NB
, portent sur des ensembles de valeurs pour vous permettre de
calculer (respectivement) la somme des valeurs, la moyenne des
valeurs, la valeur maximale, le nombre de valeurs d'une plage de
cellules.
Enfin, une fonction trÚs importante permet de différencier les
traitements selon les cas. C'est
la fonction SI
qui s'Ă©crit sous la
forme
SI(critere;valeurVrai;valeurFaux)
. Par exemple, si vous avez
une liste d'Ă©lĂšves avec une moyenne des notes en colonne
G
Ă partir
de
G8
, si vous souhaitez traiter différemment les élÚves ayant une
note supérieure à 10, vous pourrez écrire en
H8
une formule de la
forme
=SI(G8>=10;"Reçu";"Recalé")
puis étendre cette formule à tous les élÚves. Si un élÚve a une moyenne inférieure à 10, le message "Reçu" sera affiché pour cet élÚve et sinon sera affiché le message "Recalé".
Les
fonctions peuvent ĂȘtre composĂ©es
comme dans l'exemple
=
MOIS(AUJOURDHUI())
oĂč on appelle la fonction
AUJOURDHUI()
qui
calcule la date du jour et au résultat on applique la fonction
MOIS()
qui calcule le mois d'une date et donc on affichera le mois
du jour courant. La composition de fonctions est trĂšs utile, par
exemple, trÚs intéressant pour composer des
SI
lorsqu'il y a plus de
deux cas possibles comme dans l'exemple suivant :
=SI(G8<10;"Recalé";SI(G8<12;"Passable";"Mention"))
Ceci est illustrĂ© sur l'exemple. Notez bien aussi sur la video l'intĂ©rĂȘt d'avoir des cellules contenant les seuils car il suffit de modifier les contenus de ces cellules sans changer les formules pour que les rĂ©sultats s'adaptent automatiquement Ă un changement des seuils.
Vidéographie : Le si imbriqué
PK (WM+h „ home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-11numerotation-et-tables-associees_webcontent.htmlLa numĂ©rotation des chapitres ne doit jamais ĂȘtre faite manuellement car elle est rĂ©alisĂ©e automatiquement par le traitement de textes Ă partir de la structure. Il suffit d'indiquer quels sont les noms des styles (structures) identifiant les titres, en gĂ©nĂ©ral, ce sont les titre 1, titre 2, etc... Ensuite on choisit le style de numĂ©rotation et si on doit faire apparaĂźtre la hiĂ©rarchie dans le numĂ©ro en affichant les sous-niveaux. Amusez-vous Ă modifier tous les paramĂštres pour comprendre les impacts sur la prĂ©sentation de ces numĂ©ros.
Vidéographie : Numérotation automatique des chapitres
La structure d'un document, c'est aussi une structure en différentes pages : une page de garde, des pages d'index ou de table des matiÚres ou d'illustrations, ... Différents styles de pages identifient cette structure. On peut la déclarer en ajoutant des sauts de page manuels et spéciaux, puis définir quel sera le style de la page suivante et le début de sa numérotation et définir des mises en forme associées à ces pages.
Vidéographie : Structuration en liste de pages de natures différentes
Une fois la structure du document bien spĂ©cifiĂ©e, l'insertion d'une table des matiĂšres, d'une table des illustrations,... est trĂšs simple, et hautement paramĂ©trable. Si la numĂ©rotation des chapitres a Ă©tĂ© appliquĂ©e alors les numĂ©ros seront repris. Des efforts de mise en forme peuvent ĂȘtre nĂ©cessaires selon les logiciels comme par exemple ici. Par exemple, nous ajoutons une espace aprĂšs chaque numĂ©ro.
Vidéographie : Génération d'une table des matiÚres
PK (WMęû} } home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-10personnaliser-les-styles_webcontent.html
Commençons par la mise en forme des paragraphes, en modifiant la
définition du style
corps de texte
, nous définissons une rÚgle
générale qui va s'appliquer à tout le document, ou plutÎt à tous les
paragraphes de style
corps de texte
de ce document. On choisit
souvent de
justifier
, c'est-à -dire de régler les espaces entre mots
pour avoir des marges correctement alignées des deux cÎtés. Dans ce
cas, une
césure
des mots est souvent appliquée pour éviter les
espacements trop grands ou trop petits.
Vidéographie : Adapter les styles de paragraphes
On peut Ă©galement choisir des rĂšgles de mise en forme pour les caractĂšres comme pour les accentuations ou les accentuations fortes. Si vous n'ĂȘtes pas satisfait de la rĂšgle choisie, vous la modifierez pour changer l'apparence dans tout le document en une seule opĂ©ration.
Vidéographie : Adapter les styles de caractÚres
Parfois, certains Ă©lĂ©ments de structure sont propres Ă un certain type de document. Par exemple ici, nous avons des noms de logiciels. DĂ©clarer ce nouvel Ă©lĂ©ment de structure ajoute de la sĂ©mantique, du sens au document qui pourra ĂȘtre exploitĂ© par d'autres logiciels, mais facilitera Ă©galement l'uniformisation de la prĂ©sentation de tous les noms de logiciel.
Vidéographie : Nouveau style de caractÚre - logiciel
Bien sĂ»r, la dĂ©finition de nouvelles structures, donc de nouveaux styles, s'applique sur les caractĂšres comme sur les paragraphes. Ici, notre document contient un morceau de code qui ne doit pas ĂȘtre justifiĂ©. Il peut ĂȘtre dĂ©clarĂ© et mis en forme spĂ©cifiquement. Mais si votre document contenait d'autres codes, vous associeriez une structure et dĂ©finiriez une mise en forme commune pour tous ces codes.
Vidéographie : Nouveau style de paragraphe - code
PK (WM;M©û û home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/3-4traiter-des-donnees_webcontent.htmlFaire un traitement de donnĂ©es, c'est
La traduction dans le tableur posera les questions suivantes : Quelles sont les cellules et les plages de cellules qui vont contenir des valeurs en entrée ? Quelles sont les cellules qui vont contenir des résultats de calcul ? Comment les organiser dans la feuille de calcul ? Comment écrire les calculs ?
Nous considérons un exemple fictif simple. En vue d'un voyage de classe à Londres, on souhaite mémoriser et analyser la monnaie qu'emportent les enfants. On connaßt le taux de conversion de la livre, et un seuil maximal en euros qu'un enfant peut emporter a été fixé par les organisateurs. Nous disposons pour chaque enfant de ses nom et prénom, de sa classe et du montant en euros. Nous souhaitons pouvoir disposer du montant en livres, pouvoir repérer les montants supérieurs au seuil, calculer des montants moyen, minimal et maximal de notre groupe d'élÚves.
Certaines donnĂ©es vont ĂȘtre saisies : le taux, le seuil, les nom, prĂ©nom, classe et montant en euros pour chacun des enfants. Les autres donnĂ©es seront calculĂ©es : le montant en livres, le dĂ©passement du seuil, les montants moyen, minimal et maximal de notre groupe d'Ă©lĂšves. Notre feuille de calcul contiendra : une cellule contenant le taux de conversion, une cellule contenant le seuil ; une plage de cellules rectangulaire avec en ligne les enfants et en colonne les propriĂ©tĂ©s nom, prĂ©nom, classe, montant en euros, montant en livres et dĂ©passement ; des cellules avec les montants moyen, minimal et maximal. Notez aussi qu'on ajoute des contenus textuels dans certaines cellules pour expliquer le contenu de la cellule voisine ou pour nommer les propriĂ©tĂ©s de notre liste d'enfants. Il nous reste Ă expliquer comment, aprĂšs avoir saisi les valeurs, on peut calculer les valeurs utiles Ă notre application.
Un calcul va utiliser des valeurs connues qui sont contenues dans des
cellules. Il faut dont pouvoir désigner une cellule et son
contenu. Dans le tableur on parle de
référence à une cellule
désignée par numéro de ligne et de colonne dans la feuille comme, par
exemple
B7
pour la cellule en colonne B et ligne 7.
L'intĂ©rĂȘt du tableur, par rapport Ă une calculatrice, est de pouvoir
généraliser des formules à une liste d'objets. Sur notre exemple, on
va écrire une formule pour un enfant et on va généraliser cette
formule Ă
tous les enfants
et ceci qu'on ait 10 Ă©lĂšves, 100 Ă©lĂšves
ou 1000 Ă©lĂšves. Sur notre exemple, on Ă©crira une formule en
E8
pour
calculer le montant en euros Ă partir du montant figurant en
D8
. Puis
on généralisera, on étendra, la formule à toute la plage de
E8
jusque
E108
si on a 100 enfants avec une
copie
. Le tableur va
automatiquement adapter les références et la formule en
E9
fera
rĂ©fĂ©rence Ă
D9
pour l'enfant en ligne 9, ... Ceci est réalisé avec la
notion de
référence relative
comme
D8
,
B7
,
E12
,
G2
qui permet de
traiter des listes, mĂȘme de grande taille.
Mais parfois, la rĂ©fĂ©rence ne doit pas ĂȘtre modifiĂ©e lors de la
copie. C'est le cas de la référence au taux de conversion qui est dans
une seule cellule,
G2
sur notre exemple. Pour faire la distinction de
comportement, on utilisera dans notre formule une
référence absolue
en utilisant le symbole $. Donc, par exemple, pour faire référence au
taux de conversion, on utilisera la référence absolue
$G$2
.
Le
mécanisme des références est donc essentiel pour traiter des
listes
. Vous devez, lorsque vous Ă©crivez une formule, vous poser la
question suivante : est-ce que ma rĂ©fĂ©rence doit ĂȘtre adaptĂ©e lorsque
je copie ma formule. Si oui, vous utilisez une référence relative, si
non, vous utilisez une référence absolue. Sur notre exemple, la
formule Ă Ă©crire en
E8
est donc
=D8*$G$2
qu'il suffit de copier
pour toute la liste d'enfants et en
E12
, nous aurons la formule
attendue
=D12*$G$2
qui est bien le montant en euros pour l'enfant en
ligne 12 multiplié par le taux de conversion situé en
G2
.
B$2
ou
$A5
oĂč une composante est relative et l'autre
est absolue
:
comme
B3:D7
ou
$B$3:D7
ou
$B3:D$7
;
comme
B3;D$7;$A1;E3
G2
avec le nom
tauxchange
, Ă©crire en
E8
la
formule
=D8*tauxchange
, puis copier cette formule dans la plage
E8:E108
.
Vidéographie : Autres références
Vidéographie : Nommer des cellules
PK (WMòžrÁv v home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-1objectifs_webcontent.htmlL'Ă©tude des documents fait apparaĂźtre les vues sĂ©quentielle (la suite de caractĂšres), de structure (titre, section, sous-section, ...), de prĂ©sentation (couleurs, dimensions, ...) et de mĂ©tadonnĂ©es (date de crĂ©ation, auteur, ...). On parle aussi de contenu, structure, forme et mĂ©tadonnĂ©es. Nous allons voir que cette vision dĂ©finit le socle commun Ă tous les logiciels de traitement de textes. Comprendre ce socle va nous permettre d'utiliser n'importe quel traitement de texte au mieux de ses possibilitĂ©s, de s'adapter Ă ses Ă©volutions.
Le premier objectif est la dĂ©couverte des fonctionnalitĂ©s gĂ©nĂ©rales, communes Ă tous les traitements de texte, pour la dĂ©finition du contenu et de la structure. Ceci est rĂ©alisĂ© dans une interface avec, au centre, une grande zone reprĂ©sentant une page, en haut les menus et une zone de boutons-raccourcis. Les noms des actions, la forme et la couleur des boutons, les icĂŽnes et l'organisation des menus varient d'un logiciel Ă un autre, d'une version Ă une autre, d'une machine Ă une autre mais les fonctionnalitĂ©s sont globalement les mĂȘmes. La structure du document sera dĂ©finie par l'intermĂ©diaire de styles grĂące aux niveaux de titre. Il faut noter l'ambiguĂŻtĂ© du terme "style" car il sera Ă©galement utilisĂ© pour la mise en forme du document. Cette double fonction peut amener Ă de mauvais usages.
Le second objectif est d'apprendre à définir des rÚgles de mise en forme associées aux styles. Il est important de noter que les boutons raccourcis et le menu format, faciles d'utilisation permettent de réaliser des mises en forme directes et rapides. Mais ce sont des mises en forme au cas par cas qui ne peuvent pas traiter de grands documents (vos mémoires, vos rapports de stage et vos documents professionnels). Les rÚgles de mise en forme sont essentielles pour un bon usage des traitements de texte, pour la manipulation de grands documents et pour le travail en groupe. Elles permettent, en effet, de modifier la mise en forme d'un document complet en une action, de numéroter les sections et les pages d'un grand document, d'uniformiser la présentation et d'appliquer des thÚmes ou une charte graphique. Ceci à condition d'avoir préalablement correctement défini la structure de votre document.
PK (WMËëĘ Ę home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/3-1objectifs_webcontent.htmlL'Ă©tude des donnĂ©es et de leur gestion fait apparaĂźtre diffĂ©rents modes possibles d'organisation des donnĂ©es. Parmi celles-ci, la liste est largement rĂ©pandue car elle peut couvrir un grand nombre de besoins dans des situations variĂ©es. Elle vous sera utile pour gĂ©rer des Ă©lĂšves et des notes si vous ĂȘtes professeur, gĂ©rer des adhĂ©rents d'une association, gĂ©rer des listes d'objets dans des fouilles si vous ĂȘtes archĂ©ologue, ... Le tableur est un logiciel de base pour la gestion de donnĂ©es numĂ©riques reprĂ©sentĂ©es par des listes.
Cette partie de cours est dédiée à l'étude du tableur. Le premier objectif est la découverte des fonctionnalités générales, communes à tous les tableurs, pour faire des calculs et manipuler des listes. Le second objectif est d'appréhender les questions liées au choix d'organisation des données dans un tableur en réponse à des objectifs bien établis.
PK (WMCßÖa a home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/3-10representations-graphiques_webcontent.htmlUn graphique ou diagramme est utilisĂ© pour porter un message. Le type de diagramme est important car il prĂ©cise ce message :
Rappelez-vous donc qu'on ne représente pas pour faire beau mais pour informer.
PK (WMy#Ü Ü home/escapad/cnapp-prod/data/repo-data/sites/github_com__culturenumerique__cn_modules_git/module4/IMS/webcontent/2-14avec-un-autre-logiciel_webcontent.html
Nous avons illustré les principes avec LibreOffice Writer et indiqué
que ceci est général à tout traitement de texte ce que nous illustrons
avec Microsoft Word. Nous retrouvons la possibilité d'afficher ou non
les caractĂšres non imprimables, l'aide Ă la saisie, un styleur pour
structurer le document et le mettre en forme. On dispose, par exemple
du style
normal
pour le corps de texte qu'il est possible de
modifier. La génération d'un index ou d'une table des matiÚres suit
la mĂȘme logique ainsi que l'insertion de marques, de repĂšres ou de
renvois de notes. Bien sûr, chaque logiciel a son interface propre et
le nom des menus ou des outils peut varier d'une version Ă une autre,
mais il est important de retenir que les
notions vues dans ce cours
sont communes Ă tous les traitements de texte
.
La saisie est une fonctionnalitĂ© fondamentale. Elle dĂ©pend de nombreux paramĂštres dont la langue, les dispositifs de saisie et les aides Ă la saisie. La langue dĂ©finit l'ordre d'Ă©criture, les caractĂšres, les symboles graphiques utilisĂ©s, la nature des mots, les rĂšgles typographiques, ... Certains documents peuvent ĂȘtre multilingues. Nous nous focalisons ici sur le français. Le dispositif de saisie le plus rĂ©pandu reste le clavier mais des systĂšmes d'acquisition par la voix se dĂ©veloppent. L' aide Ă la saisie , frĂ©quente sur des objets portables, peut prĂ©dire la complĂ©tion d'un mot, souligner un mot mal orthographiĂ©, suggĂ©rer un mot, ...
La structure de base est définie avec les niveaux de titre : de niveau
1 pour les sections, de niveau 2 pour les sous-sections, ... Vous
pouvez faire une saisie complÚte du contenu puis définir la structure
de base ou vous pouvez définir cette structure au cours de la saisie
comme sur l'exemple de la vidéo. Dans cet exemple, on a saisi le texte
du titre, puis on l'a déclaré comme
titre principal
. On a saisi le
sous-titre, puis le premier titre de niveau 1, et les premiĂšres
phrases du premier paragraphe. Remarquez que le paragraphe suivant est
automatiquement dans le style
corps de texte
.
Remarquez aussi l'aide à la saisie qui a souligné un mot mal
orthographié ou qui a proposé le mot en cours de saisie. On remarque
également que les mots sont identifiés car ils sont automatiquement
sélectionnés lors de la correction orthographique. On a aussi la
possibilité de se déplacer de mot en mot avec
CTRL-droite
ou
CTRL-gauche
et de supprimer un mot avec
CTRL-Retour arriĂšre
.
L'assistance Ă la saisie effectue des remplacements automatiques :
elle a mis en majuscule la premiĂšre lettre du mot juste aprĂšs le
point, elle a inséré automatiquement une espace insécable
(c'est-Ă -dire qui force Ă afficher les symboles Ă sa droite et Ă sa
gauche sur une mĂȘme ligne), elle a insĂ©rĂ© un symbole spĂ©cifique pour
les points de suspension. Jusqu'ici, nous conservons la mise en forme
par défaut, c'est-à -dire qu'aucune rÚgle de mise en forme n'a été
définie donc les rÚgles par défaut (choisies par le concepteur du
logiciel) s'appliquent.